Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "obombrer" du dictionnaire de français Littré
Les ailes de mes anges [Voltaire appelait M. et Mme d'Argental ses anges] m'ont obombré, mon cher et respectable ami ; j'ai le brevet pour Ferney plus favorable que je n'avais osé le demander et l'espérer
(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Lett. d'Argental, 3 juin 1759)
| Citation |
Œuvre |
Entrée |
| Octave Auguste prit le prétexte du livre innocent de l'Art d'aimer, livre très décemment écrit et dans lequel il n'y a pas un mot obscène, pour envoyer un chevalier romain sur la mer Noire |
Dict. phil. Ovide. |
obscène |
| Quand il [Malebranche] a voulu développer cette grande vérité, que tout est en Dieu, tous les lecteurs ont dit que le commentaire est plus obscur que le texte |
Philos. tout est en Dieu. |
obscur, ure |
| Je n'aurais point percé les ténèbres frivoles D'un vain sens déguisé sous d'obscures paroles |
Oedipe, II, 3 |
obscur, ure |
| Non, non : chercher ainsi l'obscure vérité, C'est usurper les droits de la divinité |
ib. IV, 1 |
obscur, ure |
| Les remords de Cassandre et ses obscurs discours |
Olympie, I, 3 |
obscur, ure |
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