Citation de RACINE extraite de l'article "affermi, mie" du dictionnaire de français Littré
Les Dieux m'ont secourue, et mon coeur affermi N'a rien dit ou du moins n'a parlé qu'à demi
(Jean RACINE, Mithr. II, 1)
| Citation |
Œuvre |
Entrée |
| Mais si dans son devoir votre coeur affermi Voulait ne point s'entendre avec son ennemi.... |
Brit. III, 1 |
affermi, mie |
| Enfin des légions l'entière obéissance Ayant de votre empire affermi la puissance.... |
Brit. IV, 2 |
affermir |
| Oui, c'est moi qui longtemps contre elle et contre vous Ai cru devoir, madame, affermir votre époux |
Iphig. V, 6 |
affermir |
| .... ce coeur infatigable, Qui semble s'affermir sous le faix qui l'accable |
Mith. III, 2 |
affermir |
| Dieu, qui voyez mon trouble et mon affliction |
Athal. V, 7 |
affliction |
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| Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
| Le tremblement de terre de Lisbonne empêche-t-il que vous n'ayez fait le voyage de Madrid à Rome sur la terre affermie ? |
VOLTAIRE
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Dial. XXIV, 4 |
affermi, mie |
| Rien ne remuait en Judée contre Athalie : elle se croyait affermie par un règne de six ans |
BOSSUET
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Hist. I, 6 |
affermi, mie |
| Un prince est sur son trône à jamais affermi, Quand il est honoré du nom de son ami |
CORNEILLE
|
Nicom. III, 2 |
affermi, mie |
| Enfin notre bonheur est-il bien affermi ? |
CORNEILLE
|
Hor. I, 4 |
affermi, mie |
| Je vois que Cécile l'accuse ; Dans un projet coupable il le fait affermi |
CORNEILLE Th.
|
Essex, II, 3 |
affermi, mie |
