Citation de D'ALEMBERT extraite de l'article "robin [1]" du dictionnaire de français Littré
Les prêtres et les robins aux prises pour les sacrements
(Jean Le Rond D'ALEMBERT, Lett. à Volt. 13 déc. 1756)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
Sa disgrâce [de Fénelon] à la cour, qui avait commencé par ses opinions mystiques, fut consommée sans retour par son roman de Télémaque |
Éloges, Fénelon. |
roman [2] |
Malheur à tout roman que le lecteur n'est pas pressé d'achever ! |
Éloges, Marivaux. |
roman [2] |
Si Moncrif n'est pas l'inventeur de la romance, s'il l'a reçue de nos bons aïeux, il a du moins le mérite de l'avoir fait renaître de nos jours avec des grâces nouvelles, et de l'avoir comme remise en honneur chez sa nation, devenue plus délicate et plus difficile |
Él. Moncrif. |
romance [2] |
Cette harmonie douce et flexible, cette rondeur et cette mollesse d'expression et de cadence, cette diction toujours noble et facile [dans Cicéron] |
Éloges, Sacy. |
rondeur |
Voiture lui dirait [à Mlle Clairon, dans le rôle d'Olympie] qu'on ne lui reprochera pas de n'être bonne ni à rôtir ni à bouillir |
Lett. à Voltaire, 6 avril 1764 |
rôtir |
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Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
Il n'a jamais eu la morgue de la magistrature, ni le mauvais ton des robins |
VOYER MARQ.
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D'ARGENSON, Mém. p. 433, dans POUGENS |
robin [1] |
C'est un homme isolé qui vit en volontaire, Qui n'est bourgeois, abbé, robin, ni militaire |
PIRON
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Métrom. I, 1 |
robin [1] |
Ma mère, en illustre personne, Dédaigna robins et traitants |
BÉRANGER
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Enf. de b. maison. |
robin [1] |