Citation de DE LABORDE extraite de l'article "souage" du dictionnaire de français Littré

Les souages étaient souvent verrés, c'est-à-dire qu'ils se détachaient par la dorure sur l'argent

(Léon de LABORDE, Émaux, p. 501)
Citation Œuvre Entrée
Aux souliers à pointes, dits à poulaine, succédèrent très rapidement, ainsi que la mode procède dans ses excès, les souliers camus Émaux, p. 502 soulier
Le stuc était connu des anciens ; il fut réinventé au commencement du XIVe siècle en Italie, où le climat sollicite et protége cette manière commode et peu coûteuse d'orner l'intérieur et même l'extérieur des habitations Émaux, p. 502 stuc
En France, le stuc ne me semble pas avoir été introduit avant le XVIe siècle ; c'est François Ier qui l'appliqua à la décoration magnifique, mais un peu hâtive, de son château de Fontainebleau ; il fit venir des stucateurs d'Italie, et ces artistes apportèrent avec eux la chose et son nom Émaux, p. 502 stucateur
Au moyen âge, tableau ployant et ouvrant, tableau composé de deux, trois et jusqu'à cinq pièces, liées par des charnières et se repliant sur elles-mêmes Émaux, p. 506 tableau
Anciennement, taille-douce était un terme d'orfévrerie, et signifiait la gravure au burin et en hachure sur les pièces de vaisselle ; ni Robert Étienne, en 1539, ni Jean Nicot, en 1606, n'ont admis cette expression ; Monet, en 1635, la prend encore dans le sens de travail d'orfévrerie, sans application à l'expression : tailler en taille-douce ; c'est dans le XVIIe siècle seulement qu'on distingua, dans le commerce des estampes, les épreuves de la gravure en taille-douce de celles que fournissent les travaux de la pointe sèche, les eaux-fortes et les tailles de bois en relief Émaux, p. 510 taille
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