Citation de MARIVAUX extraite de l'article "venir" du dictionnaire de français Littré
Lorsque je l'ai aimé, c'était un amour qui m'était venu ; à cette heure que je ne l'aime plus, c'est un amour qui s'en est allé
(Pierre de MARIVAUX, Double inconst. III, 8)
Citation | Œuvre | Entrée |
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On lui exprime qu'on lui est obligé ; grand venez-y-voir | Pays. parv. 6e part. | venir |
Je n'avais pas vingt ans quand cela m'arrivait ; vous passez quarante, beau venez-y-voir | ib. | venir |
Je n'avais ni verge ni bâton, je me mis à ramasser cette épée | Pays. parv. 3e part. | verge |
Qu'on me dise en vertu de quoi cet homme-là s'est mis dans la tête que je ne l'aime point | le Legs, sc. 20 | vertu |
Vertuchou ! ces devoirs-là sont bons ! je les trouve encore plus nobles que mes lettres de noblesse | Doubl. inconst. III, 4 | vertubleu |
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