Citation de BOURDALOUE extraite de l'article "souverain, aine," du dictionnaire de français Littré
N'est-il pas étrange que, ce règne de Dieu devant être notre souverain bien, nous en redoutions les approches comme notre souverain mal ?
(Louis BOURDALOUE, 15e dim. après la Pentecôte, Dominic. t. III, p. 47)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Ce n'est point, dis-je, par cette haine générale, par cette haine spéculative du péché, qu'il faut juger du mérite de la pénitence | Pénitence, 2e avent, p. 467 | spéculatif, ive |
Sans nous piquer aujourd'hui d'une spiritualité plus sublime que celle qui nous est enseignée par ce maître adorable [Jésus-Christ] | Sur la récomp. des saints, 1er avent, p. 2 | spiritualité |
Faisons-nous bien connaître aux médecins spirituels de nos âmes, afin qu'ils puissent mieux nous traiter | 24e dim. après la Pentec. Domin. t. IV, p. 451 | spirituel, elle |
Chrétiens qui, malgré leur relâchement, se piquent encore d'être spirituels et parfaits dans leur religion | Carême, II, Richesses, 32 | spirituel, elle |
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