Citation de SÉGUR extraite de l'article "débouché [3]" du dictionnaire de français Littré
Napoléon, avec environ six mille gardes et le corps de Ney réduit à six cents hommes, passait la Bérézina, vers deux heures de l'après-midi ; il se plaçait en réserve d'Oudinot et assurait contre les efforts à venir de Tchitchakof le débouché des ponts
(Philippe de SÉGUR, Hist. de Napol. XI, 7)