Citation de GUEZ DE BALZAC extraite de l'article "ail" du dictionnaire de français Littré
Ne vous souvenez-vous plus des premiers consuls, dont les paroles sentaient les aulx et la viande crue ?
(Jean-Louis GUEZ de BALZAC, Lettr. I, 9)
| Citation |
Œuvre |
Entrée |
| Vous n'aurez plus de moi que des prières et des remerciements, et je vous ferai bien avouer que j'importune mieux que je ne loue ; qu'ainsi ne soit, madame, je vous envoie déjà plusieurs maux en même temps |
liv. VII, lett. 23 |
ainsi |
| Il est venu arrêter les pensées vagues de l'esprit humain et fixer ses raisonnements en l'air |
Socrate, Disc. 1 |
air [1] |
| Vous avez trouvé toutes choses si aisées qu'elles se pouvaient quasi faire d'elles-mêmes |
Liv. IV, lett. 18 |
aisé, ée |
| Dès le lendemain de la représentation il reçut un ajournement personnel |
Le prince, ch. XX |
ajournement |
| Ils ne connaissent point ces relâchements, ces ajustements, comme on parle aujourd'hui en Italie |
6e disc. s. la cour. |
ajustement |
| Plus de citations de GUEZ DE BALZAC... |
Citations d'autres auteurs extraites de l'article "ail" du dictionnaire de français Littré