Citation de ROLLIN extraite de l'article "élocution" du dictionnaire de français Littré
Nous ne savons rien des commencements ni des progrès de la langue grecque ; les poëmes d'Homère sont le plus ancien ouvrage que nous ayons en cette langue et l'élocution y est si parfaite, que tous les siècles suivants n'y ont pu rien ajouter
(Charles ROLLIN, Hist. anc. Oeuvres, t. XI, 2e part. p. 605)
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Citation | Œuvre | Entrée |
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L'air est embaumé par la grande quantité de fleurs que fournissent les orangers, les citronniers et les autres arbres | Hist. anc. Oeuvres, t. I, p. 44, dans POUGENS | embaumer |
Dans les grandes affaires, il faut tout envisager, et se contenter de ce qu'on peut exécuter avec succès, sans vouloir embrasser tout à la fois | Hist. anc. Oeuvres, t. VIII, p. 320, dans POUGENS | embrasser |
Les Athéniens, commandés par Démosthène et Hippocrate, étaient entrés en Béotie, dans l'espérance que plusieurs villes embrasseraient leur parti dès qu'ils se montreraient | Hist. anc. Oeuvres, t. III, p. 581, dans POUGENS | embrasser |
Telle a été l'origine de ces fameux empires qui embrassaient une grande partie du monde | Hist. anc. Oeuvres, t. I, p. 6, dans POUGENS | embrasser |
Une embuscade est plus sûre dans un terrain plat et uni, mais fourré, que dans des bois, parce qu'on s'en défie moins | Hist. anc. Oeuvres, v. I, p. 410, dans POUGENS | embuscade |
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