Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "philosophie" du dictionnaire de français Littré
Nous tâchâmes, dans un discours préliminaire [à l'Essai sur les moeurs] qu'on intitula philosophie de l'histoire, de démêler comment naquirent les principales opinions qui unirent des sociétés, qui ensuite les divisèrent, qui en armèrent plusieurs les unes contre les autres ; nous cherchâmes toutes ces origines dans la nature, elles ne pouvaient être ailleurs
(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Mél. hist. Fragm. hist. X)
Citation | Œuvre | Entrée |
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La superstition met le monde en flammes ; la philosophie les éteint | Dict. phil. Superstition. | philosophie |
La philosophie est bonne à quelque chose, elle console | Lett. à Mme du Deffant, 21 oct. 1770 | philosophie |
Il est bon d'être philosophe, mais il est triste d'être toujours oblige de se servir de sa philosophie | Lett. Damilaville, 27 mars 1767 | philosophie |
Il en est de la plupart des livres philosophiques comme des Contes de la Fontaine : on commença par les brûler, on a fini par les représenter à l'Opéra-Comique | Mél. hist. Comm. sur l'éloge du Dauphin. | philosophique |
Vous devez vivre à Paris gaiment, librement et philosophiquement : ces trois adverbes joints font admirablement | Lett. Thiriot, 19 déc. 1754 | philosophiquement |
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