Citation de ROUSSEAU extraite de l'article "faux, fausse [1]" du dictionnaire de français Littré
Nulle cadence, nul accent mélodieux dans les airs du peuple ; les instruments militaires, les fifres de l'infanterie, les trompettes de la cavalerie, tous les cors, tous les hautbois, les chanteurs des rues, les violons de guinguette, tout cela est d'un faux à choquer l'oreille la moins délicate
(Jean-Jacques ROUSSEAU, Hél. II, 23)
| Citation | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|
| Plutarque devint ma lecture favorite | Confess. I | favori, ite |
| C'est là, mon féal, que vous lui jurerez foi et loyauté | Hél. I, 35 | féal, ale |
| Quoique je le sache [le chevalier de Lorenzy] très lié avec des gens qui ne m'aiment pas, mais qui feignent de m'aimer avec les gens qui m'aiment, et qui ne manqueront pas d'avoir cette feinte avec lui | Oeuvres, édit. DUPONT, 1824, t. XIX, p. 381 | feinte [1] |
| Vous me jurerez de ne point commettre acte de félonie | Hél. I, 35 | félonie |
| Je suis surpris.... qu'un homme d'autant d'esprit daigne faire attention à ces petits bavardages femelles | Lett. à du Peyrou, 19 juill. 1766 | femelle |
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