Citation de MALHERBE extraite de l'article "sente" du dictionnaire de français Littré
On a cru que les feux [de l'Etna] s'ouvrirent en deux, et, se retirant de part et d'autre, laissèrent une sente à ces jeunes hommes de qui l'audace était à la vérité digne d'un bon événement
(François de MALHERBE, le Traité des bienf. de Sénèque, III, 37)