Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "dixième" du dictionnaire de français Littré

On n'osa imposer le dixième que dans l'année 1710 ; mais ce dixième, levé à la suite de tant d'autres impôts onéreux, parut si dur qu'on n'osa pas l'exiger avec rigueur ; le gouvernement n'en retira pas vingt-cinq millions annuels, à quarante francs le marc

(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Louis XIV, 30)