Citation de GRIMARD extraite de l'article "mer" du dictionnaire de français Littré
On sait que la mer Rouge doit son nom à la présence d'innombrables petites algues (trichodesmie d'Ehrenberg) qui, particulièrement accumulées parfois dans certains golfes, donnent aux eaux la coloration du sang
(GRIMARD, Revue des Deux-Mondes, 1er avril 1867, p. 667)
Citations d'autres auteurs extraites de l'article "mer" du dictionnaire de français Littré
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Auteur |
Œuvre |
Entrée |
| Je vais passer la mer, pour voir si l'Afrique, que l'on dit produire toujours quelque chose de rare, a rien qui le soit tant qu'elles [deux dames] |
VOITURE
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Lett. 39 |
mer |
| On équipe par ses conseils et presque à ses dépens un vaisseau qui doit porter dans la Chine les richesses de l'Évangile ; le ciel, la mer, les vents favorisent d'abord cette entreprise |
FLÉCHIER
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Aiguillon. |
mer |
| Quoi ! pour noyer les Grecs et leurs mille vaisseaux, Mer, tu n'ouvriras pas des abîmes nouveaux ? |
RACINE
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Iphig. V, 4 |
mer |
| Les vents agitent l'air d'heureux frémissements, Et la mer leur répond par ses mugissements |
RACINE
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ib. V, 6 |
mer |
| Au seul son de sa voix [de Dieu], la mer fuit, le ciel tremble |
RACINE
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Esth. I, 3 |
mer |
