Citation de ROTROU extraite de l'article "étouffer" du dictionnaire de français Littré
On étouffe aisément qui se laisse presser
(Jean de ROTROU, Antig. I, 6)
Autres citations de Jean de ROTROU
| Citation | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|
| Croyez-vous que.... L'absence ait de mes feux les ardeurs étouffées ? | Bélis. II, 4 | étouffer |
| De combien d'importuns j'ai la tête étourdie ! | St Genest, II, 3 | étourdi, ie [1] |
| Ces damnables complots sont des gens de la cour | Bélis. II, 9 | être [1] |
| Est-ce que vous feignez d'ignorer ma naissance ? | Herc. mour. IV, 2 | être [1] |
| [Il] Est devant tous les temps et devant tous les êtres | St Genest, III, 1 | être [2] |
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| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|---|
| J'ai pensé être étouffé à la porte | MOLIÈRE | Critique, sc. 5 | étouffer |
| Les dames de la cour, indignées de ce qu'il leur avait préféré une personne d'une si basse naissance, étouffèrent l'enfant | MONTESQUIEU | Esp. VI, 13 | étouffer |
| Les pleurs recommencèrent, et on pensa étouffer l'enfant à force de le baiser | SCARRON | Rom. com. I, 13 | étouffer |
| La connaissance la plus légère met un homme en droit d'en étouffer un autre en l'embrassant | MONTESQUIEU | Lett. pers. 28 | étouffer |
| J'embrasse mon rival, mais c'est pour l'étouffer | RACINE | Brit. IV, 3 | étouffer |