Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "offusqué, ée" du dictionnaire de français Littré
On voyait ses yeux tantôt étincelants d'une tendre flamme, tantôt offusqués par ces larmes précieuses que l'amour fait répandre
(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Taureau blanc, 4)
| Citation |
Œuvre |
Entrée |
| De plus, elle [une vue] était offusquée par deux bâtiments voisins qu'on vient de construire |
Lettre à Mme de Saint-Julien, 29 mai 1776 |
offusquer |
| Notre théâtre est vide d'action et de grands intérêts, pour l'ordinaire : ce qui fait qu'il manque d'action, c'est que le théâtre est offusqué par nos petits-maîtres ; et ce qui fait que les grands intérêts en sont bannis, c'est que notre nation ne les connaît pas |
Lett. Desfontaines, 14 avr. 1735 |
offusquer |
| Galère trouva mauvais que les chrétiens bâtissent une église qui offusquait son palais |
Philos. Ex. de milord Bolingbr. 27 |
offusquer |
| Le prince royal de Prusse [plus tard Frédéric II], à qui son ogre de père permettait à peine de lire, n'attend pas que ce père soit mort pour oser faire imprimer la Henriade ; il a fait fondre en Angleterre des caractères d'argent |
Lett. Cideville, 5 mai 1740 |
ogre |
| La paix ! il n'y aura point de paix ; c'est un labyrinthe dont on ne se peut tirer ; ah ! pauvres Français, réjouissez-vous ; car vous n'avez pas le sens d'une oie |
Lett. d'Argental, 14 sept. 1761 |
oie |
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