Citation de ROUSSEAU J.-B. extraite de l'article "déferré, ée" du dictionnaire de français Littré
Par trop bien boire un curé de Bourgogne De son pauvre oeil se trouvait déferré
(Jean-Baptiste ROUSSEAU, liv. II, ép. 7)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
Que faistu, lui dit-il, faible et timide amant ? Pourquoi troubler les airs de plaintes éternelles ? Est-ce d'aujourd'hui que les belles Ont recours au déguisement ? |
Cantate 6 |
déguisement |
Pour voir ces déités nouvelles, Le soleil tient encor ses coursiers arrêtés |
les Bains de Tomeri |
déité |
Craignez que de sa voix les trompeuses délices.... |
Ode s. la flatt. |
délice |
Car il n'est point d'auteur si désolé Qui dans Paris n'ait un parti zélé ; Rien n'est moins rare : un sot, dit la satire, Trouve toujours un plus sot qui l'admire |
Épître, liv. I, 1, Aux muses. |
désolé, ée |
Dans les champs que l'hiver désole, Flore vient rétablir sa cour |
Cantate, Circé. |
désoler |
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