Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "guenille" du dictionnaire de français Littré
Philaminte : Le corps cette guenille est-il d'une importance, D'un prix à mériter seulement qu'on y pense ? - Chrysale : Oui, mon corps est moi-même ; et j'en veux prendre soin.... Guenille, si l'on veut ; ma guenille m'est chère
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, Femmes sav. II, 7)
Citation | Œuvre | Entrée |
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L'un fait beaucoup de bruit qui ne lui sert de guères ; L'autre en toute douceur laisse aller les affaires | Éc. des f. I, 1 | guère |
Pour tout l'or du monde, il ne voudrait pas avoir guéri une personne avec d'autres remèdes que ceux que la faculté permet | Pourc. I, 7 | guérir |
Je ne vois rien de plus ridicule qu'un homme qui se veut mêler d'en guérir un autre | Mal. im. III, 3 | guérir |
De quoi guérira, de quoi me guérira cela ? De quoi est-ce que tout cela guérit ? | Bourg. gent. III, 3 | guérir |
Il [le médecin] m'ordonne des remèdes, je ne les fais pas et je guéris | Mot cité en note au troisième placet au roi sur le Tartuffe, Oeuv. compl. édit. variorum de 1862 | guérir |
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