Citation de CORNEILLE Th. extraite de l'article "fleuron" du dictionnaire de français Littré
Quand, près de quelque objet, vous jouez quelquefois, Quoiqu'en pleine santé, d'être presque aux abois, Et que vous débitez et fleurons et fleurettes Pour mieux peindre des maux qu'à plaisir vous vous laites
(Thomas CORNEILLE, l'Am. à la mode, I, 3)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
Voici bien des marchands, la foire sera bonne |
l'Amour à la mode, V, 8 |
foire [1] |
Je sais qu'un vieux respect que la pudeur embrasse Veut qu'au seul nom d'amour nous fassions la grimace, Et que, lorsqu'un amant prétend nous en conter, Nous criions à la force avant que d'écouter |
le Berger extravag. IV, 3 |
force |
Je ne sache en ma race aucun forlignement |
le Geôlier de soi-même, I, 5 |
forlignement |
M'en acquitter vers elle est ma plus forte envie |
Ariane, III, 4 |
fort, orte |
Ces foudroyants regards, ces accablants reproches |
Ariane, IV, 5 |
foudroyant, ante |
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