Citation de HUGO extraite de l'article "morgane" du dictionnaire de français Littré
Que ce soit Urgèle ou Morgane, J'aime, en un rêve sans effroi, Qu'une fée au corps diaphane, Ainsi qu'une fleur qui se fane, Vienne pencher son front sur moi
(Victor HUGO, Ball. I)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
Anacréon, chargé du poids des ans moroses, Pour songer à la mort se comparait aux roses Qui mouraient sur ses cheveux blancs |
Odes, III, 1 |
morose |
Tout gonflé de poison il attend les morsures |
Voix intérieures, 13 |
morsure |
Les morts durent bien peu ; laissons-les sous la pierre ; Hélas ! dans le cercueil ils tombent en poussière Moins vite qu'en nos coeurs |
F. d'automne, 6 |
mort, morte [2] |
Les barons en robe de soie, Avec leurs mortiers de velours |
Ballades, VI |
mortier |
Longtemps après sa chute [de la bombe], on voit fumer encore La bouche du mortier, large, noire et sonore |
Odes, III, 6 |
mortier |
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