Citation de RACINE extraite de l'article "étouffé, ée" du dictionnaire de français Littré
Quel feu mal étouffé dans mon coeur se réveille !
(Jean RACINE, Phèd. IV, 5)
| Citation |
Œuvre |
Entrée |
| J'embrasse mon rival, mais c'est pour l'étouffer |
Brit. IV, 3 |
étouffer |
| Tant de coups imprévus m'accablent à la fois Qu'ils m'ôtent la parole et m'étouffent la voix |
Phèd. IV, 2 |
étouffer |
| Étouffe dans son sang ses désirs effrontés |
Phèd. IV, 2 |
étouffer |
| Quoi ! j'étouffe en mon coeur la raison qui m'éclaire.... |
Andr. v, 4 |
étouffer |
| Que, rappelant leur haine, au lieu de la chasser, Ils s'étouffent, Attale, en voulant s'embrasser |
Théb. III, 6 |
étouffer |
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| Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
| Les uns sont étouffés sous le faix de la terre Qui tombe par l'effort des machines de guerre |
MAIRET
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Mort d'Asdrub. I, 3 |
étouffé, ée |
| Il partit donc aux acclamations de tout le canton, étouffé d'embrassements |
VOLTAIRE
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l'Ingénu. 7 |
étouffé, ée |
| Jeté sur cette boule, Laid, chétif et souffrant, Étouffé dans la foule, Faute d'être assez grand |
BÉRANGER
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Vocat. |
étouffé, ée |
| Vous allez dans une petite ville étouffée, où peut-être il y aura des maladies et du mauvais air |
SÉVIGNÉ
|
84 |
étouffé, ée |
| Et des crimes si noirs étouffés au berceau |
CORNEILLE
|
Oedipe, I, 6 |
étouffé, ée |