Citation de D'ALEMBERT extraite de l'article "marchandise" du dictionnaire de français Littré
Quelque aguerri que vous deviez être à voir cette robe, puisque vous en nourrissez un [un jésuite] depuis dix ans, je ferais scrupule de vous surcharger de pareille marchandise
(Jean Le Rond D'ALEMBERT, Lett. à Voltaire, 11 mars 1766)
Citation | Œuvre | Entrée |
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En vérité, il est abominable de mettre à si bon marché la vie des hommes | Lett. à Voltaire, 16 juill. 1766 | marché [1] |
La profondeur et la figure des côtes, les vents et les courants altèrent tellement la hauteur des marées, qu'il n'y a peut-être pas deux endroits sur la terre où elle soit exactement la même | Introd. précess. équin. Oeuvres, t. XIV, p. 56, dans POUGENS. | marée |
La pauvre philosophie se trouverait une seconde fois dans le margouillis dont Dieu et vous la vouliez préserver | Lett. à Voltaire, 9 juill. 1764 | margouillis |
Le roi le crut, et le crut si bien, qu'il en témoigna son mécontentement de la manière la plus marquée | Apolog. Clerm. Tonn. Oeuv. t. IX, p. 152, dans POUGENS. | marqué, ée |
Voilà les marrons que Bertrand voit sous la cendre, et qui lui paraissent très bons à croquer ; mais il a la patte trop lourde pour les tirer délicatement | Lett. à Voltaire, 18 janvier 1773 | marron [1] |
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