Citation de MALEBRANCHE extraite de l'article "schisma" du dictionnaire de français Littré
Quelques-uns s'imaginent que le ton majeur n'est point différent du ton mineur ; de sorte que le comma, qui en est la différence, leur est insensible, et à plus forte raison le schisma, qui n'est que la moitié du comma
(Nicolas MALEBRANCHE, Rech. VI, 4)