Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "élever" du dictionnaire de français Littré
Qui de nous vers le ciel n'élève pas des cris Pour les jours d'un époux, ou d'un père, ou d'un fils ?
(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Orph. I, 1)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Vous, seigneur ! ... ce sérail éleva votre enfance ? | Zaïre, II, 3 | élever |
| Et les Alpes de loin, s'élevant dans la nue, D'un long amphithéâtre enferment les coteaux | Ép. CII | élever |
| Le peuple en sa faveur s'élève et s'attendrit | Tancrède, V, 3 | élever |
| Le sang de votre roi s'élève contre vous | Oedipe, I, 3 | élever |
| Quelle effroyable voix dans mon âme s'élève ? | Fanat. IV, 4 | élever |
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| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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| À ces paroles, la mère, élevant vers le ciel ses mains tremblantes | GENLIS | Veillées du chât. t. II, p. 386, dans POUGENS | élever |
| Pour t'élever de terre, homme, il te faut deux ailes, La pureté du coeur et la simplicité | CORNEILLE | Imit. II, 4 | élever |
| Le coup à l'un et l'autre en sera précieux, Puisqu'il t'assure en terre en m'élevant aux cieux | CORNEILLE | Polyeucte, V, 4 | élever |
| C'est à toi d'élever tes sentiments aux miens | CORNEILLE | Hor. IV, 7 | élever |
| Pendant que la nature nous tient si bas, que peut la fortune pour nous élever ? | BOSSUET | Duch. d'Orl. | élever |