Citation de BOSSUET extraite de l'article "fleur" du dictionnaire de français Littré
À quoi es-tu réduite, âme raisonnable ? toi qui étais née pour l'éternité et pour un objet immortel, tu deviens éprise et captive d'une fleur que le soleil dessèche, d'une vapeur que le vent emporte, en un mot d'un corps qui par la mortalité est devenu un empêchement et un fardeau à l'esprit
(Jacques-Bénigne BOSSUET, la Vallière.)