Citation de CORNEILLE extraite de l'article "étonner" du dictionnaire de français Littré
Quoique le mien [courage] s'étonne à ces rudes alarmes
(Pierre CORNEILLE, Hor. I, 1)
| Citation | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|
| Vous faut-il étonner de ce que je l'ignore ? | Hor. III, 2 | étonner |
| C'est de quoi s'étonner | Héracl. v, 7 | étonner |
| Et des crimes si noirs étouffés au berceau | Oedipe, I, 6 | étouffé, ée |
| Il n'eût point vu Créüse, et cet objet nouveau N'eût point de notre hymen étouffé le flambeau | Médée, I, 5 | étouffer |
| Fasse le juste ciel propice à mes désirs Que ces longs cris de joie étouffent vos soupirs ! | Pomp. v, 5 | étouffer |
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| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|---|
| Trop de vérité nous étonne | PASCAL | dans COUSIN | étonner |
| Ma faiblesse n'a point étonné mon ambition | PASCAL | ib. | étonner |
| On le vit étonner de ses regards étincelants ceux qui échappaient à ses coups | BOSSUET | Louis de Bourbon | étonner |
| Au conseil comme au sceau, la multitude, la variété, la difficulté des affaires n'étonnaient jamais ce grand magistrat | BOSSUET | le Tellier | étonner |
| Mon Dieu, pourquoi vois-je devant moi ce visage dont vous étonnez les réprouvés ? | BOSSUET | 1er serm. pour le vendredi saint, III | étonner |

