Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "suave" du dictionnaire de français Littré
S'il faut que vos bontés veuillent me consoler, Et jusqu'à mon néant daignent se ravaler, J'aurai toujours pour vous, ô suave merveille, Une dévotion à nulle autre pareille
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, Tart. III, 3)