Citation de GENLIS extraite de l'article "perdre" du dictionnaire de français Littré
Sainville ne perdait aucun de ses mouvements
(Stéphanie Félicité Ducrest de St-Albin, comtesse de GENLIS, Voeux téméraires, t. III, p. 242, dans POUGENS)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
Que diantre va-t-on faire dans un pays perdu comme ça ? |
Théât. d'éduc. la Lingère, I, 2 |
perdu, ue |
Il ravissait mon cousin, qui me dit en parlant de lui qu'il serait un bon vivant, un père la joie |
Parvenus, t. II, p. 32, dans POUGENS |
père |
Elle fait un éclat de rire immodéré en l'appelant gros père |
Mém. t. II, p. 60, dans POUGENS |
père |
Je lui trouve de l'esprit et de la gaieté, mais il est caustique et persifleur |
Mères rivales, t. I, p. 9, dans POUGENS |
persifleur |
M. de Retel a cent mille livres de rente et un très beau nom ; mais il a trente-sept ans et un personnel qui peut déplaire à une jeune personne |
Ad. et Théod. t. III, p. 305, dans POUGENS |
personnel, elle |
Plus de citations de GENLIS... |
Citations d'autres auteurs extraites de l'article "perdre" du dictionnaire de français Littré