Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "joufflu, ue" du dictionnaire de français Littré
Si les rois sont les images des dieux et les ambassadeurs les images des rois, il s'ensuit, sire, par le quatrième théorème de Wolf que les dieux sont joufflus et ont une physionomie très agréable
(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Lett. Roi de Pr. juin 1740)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Vous devez, mon cher philosophe, avoir reçu une lettre satisfaisante de ce joufflu de Gabriel Cramer | Lett. d'Alembert, 25 janv. 1765 | joufflu, ue |
| Ah ! vous ferez aimer votre joug aux vaincus | Orphel. V, 6 | joug |
| Qui sent le joug le porte avec murmure | Nan. I, 1 | joug |
| Chacun peut désormais jouir de mon aspect | Zaïre, I, 3 | jouir |
| Il m'avoua, pour me consoler, qu'il jouissait de quatre cent mille livres de rente | l'Homme aux quarante écus, désastre | jouir |
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Citations d'autres auteurs extraites de l'article "joufflu, ue" du dictionnaire de français Littré
| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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| Il est un petit homme.... Joufflu comme une pomme | BÉRANGER | Pet. h. gris. | joufflu, ue |
| Ce petit joufflu-là montre avoir de l'esprit | REGNARD | le Distrait, III, 13 | joufflu, ue |