Citation de PIRON extraite de l'article "sifflé, ée" du dictionnaire de français Littré
Sifflée et resifflée. - Et le méritait-elle [la pièce] ?
(Alexis PIRON, Métrom. V, 2)
Citations d'autres auteurs extraites de l'article "sifflé, ée" du dictionnaire de français Littré
Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
Mazarin me renvoya à la reine ; je la trouvai sifflée et aigrie |
RETZ
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II, 78 |
sifflé, ée |
J'ai ignoré absolument pendant le quart de ma vie les raisons de tout ce que j'ai vu, entendu et senti ; et je n'ai été qu'un perroquet sifflé par d'autres perroquets |
VOLTAIRE
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Dict. phil. Ignorance |
sifflé, ée |
Tout ce qui peut m'arriver, c'est d'être sifflé ; et c'est le plus petit malheur du monde |
VOLTAIRE
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Lett. Marin, 30 oct. 1772 |
sifflé, ée |
C'est aux premiers gentilshommes de la chambre à donner les rôles ; un pauvre auteur ne doit jamais se mêler de rien que d'être sifflé |
VOLTAIRE
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Lett. d'Argental, 20 janv. 1762 |
sifflé, ée |
Les auteurs qui, dans les discours préliminaires de leurs tragédies ou comédies tombées dans un éternel oubli.... vous prouvent que l'endroit le plus siffé est le meilleur... |
VOLTAIRE
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Honnêt. litt. Préamb. |
sifflé, ée |