Citation de CORNEILLE extraite de l'article "éventé, ée" du dictionnaire de français Littré
Un dessein éventé succède rarement
(Pierre CORNEILLE, Médée, III, 4)
| Citation | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|
| L'artifice est trop lourd pour ne pas l'éventer | Poly. v, 1 | éventer |
| Ma constance contre elle à regret s'évertue | Hor. II, 5 | évertuer (s') |
| Nous sommes encor loin de mettre en évidence Si nous nous conduirons avec plus de prudence | Cinna, II, 1 | évidence |
| De quel front oserais-je, après sa confidence, Souffrir que mon amour se mît en évidence ? | Suite du Ment. IV, 8 | évidence |
| Eh bien, ta perfidie est-elle en évidence ? | la Pl. roy. II, 2 | évidence |
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| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|---|
| Ton piége est découvert, ta mine est éventée | TRISTAN | Mariane, III, 2 | éventé, ée |
| Que ce secret ne soit point éventé | LA FONTAINE | Aveux. | éventé, ée |
| Il n'est enseignement pareil à celui-là de fuir une tête éventée | LA FONTAINE | Fabl. IX, 8 | éventé, ée |
| On prit ces paroles pour des propos d'un homme éventé | BOSSUET | Var. 10 | éventé, ée |
| Ses airs éventés me le rendirent insupportable, et mon air froid m'attira son aversion | ROUSSEAU | Confes. X | éventé, ée |