Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "coupé [2]" du dictionnaire de français Littré
Vois-tu ce petit trait de feinte que voilà ? Ce fleuret ? ces coupés courant après la belle ? Dos à dos, face-à-face, en se pressant sur elle ?
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, Fâch. I, 5)
| Citation |
Œuvre |
Entrée |
| Apprenez, maître Jacques, vous et vos pareils, que c'est un coupe-gorge qu'une table remplie de trop de viandes |
l'Avare, III, 5 |
coupe-gorge |
| Allons, c'est trop souffrir les chagrins qu'on nous forge ; Tirons-nous de ce bois et de ce coupe-gorge |
Mis. V, 1 |
coupe-gorge |
| Laissez-moi, je lui veux couper les deux oreilles |
Tart. V, 2 |
couper |
| À tous nos démêlés coupons chemin, de grâce |
Mis. II, 1 |
couper |
| Tout cela va le mieux du monde, Mais enfin coupons au discours |
Amph. III, 11 |
couper |
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