Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "je" du dictionnaire de français Littré
Vous remarquerez, lui dis-je, que.... Osez-vous, lui répondis-je, me parler de la sorte ? Moi, j'ai blessé quelqu'un ? fis-je tout étonnée
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, Éc. des f. II, 6)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Eussé-je un faible coeur Jusques à n'en pouvoir effacer votre image | le Dép. IV, 3 | je |
Si je vous ouvre mon coeur, peut-être serai-je à vos yeux bien moins sage que vous | l'Avare, I, 2 | je |
Ne sens-je pas bien que je veille ? | Amph. I, 2 | je |
Ne tiens-je pas une lanterne en main ? | ib. I, 2 | je |
C'est un étrange fait du soin que vous prenez à me venir toujours jeter mon âge au nez | Éc. des mar. I, 1 | jeter |
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Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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Je qui chantai jadis Typhon D'un style qu'on trouva bouffon | SCARRON | Virg. I | je |
Il s'y met quand on l'emploie par manière de souhait, comme : Puissé je de mes mains te déchirer le flanc ! | VOLTAIRE | Fanat. V, 2 | je |
Mais où cherché-je ailleurs ce qu'on trouve chez nous ? | BOILEAU | Épître I | je |
Elle me fuit ! veillé-je et n'est-ce point un songe ? | RACINE | Iphig. II, 7 | je |
Puissé-je de mes yeux y voir tomber ce foudre | CORNEILLE | Hor. IV, 5 | je |