Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "port [1]" du dictionnaire de français Littré
Vous voyez le grand gain, sans qu'il faille le dire, Que de ses ports de mer le roi tous les ans tire : Or l'avis dont encor nul ne s'est avisé, Est qu'il faut de la France, et c'est un coup aisé, En fameux ports de mer mettre toutes les côtes
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, Fâch. III, 3)
| Citation | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|
| Tiens, c'est ici mon port, comme je te l'ai dit | Fâch. II, 2 | port [2] |
| La grasse est, dans son port, pleine de majesté | Mis. II, 5 | port [2] |
| Entrez dans cette porte et laissez-vous conduire | École des femmes, v, 3 | porte [1] |
| Du faubourg Saint-Jacques à la porte de Richelieu, de la porte de Richelieu ici, d'où je dois aller encore à la Place-Royale | l'Amour méd. II, 3 | porte [1] |
| Il n'est ni train pompeux, ni superbes palais Qui n'ouvrent quelque porte à des maux incurables | Psyché, IV, 1 | porte [1] |
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