Citation de MARIVAUX extraite de l'article "mode [2]" du dictionnaire de français Littré
Voyez ces ajustements, jupes étroites, jupes en lanterne, coiffures en clocher, coiffures sur le nez, capuchon sur la tête, et toutes les modes les plus extravagantes
(Pierre de MARIVAUX, la Double surprise de l'amour, I, 2)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Allez, Brunon, voilà qui est fini, vous êtes à moi, et je souhaite que vous vous en trouviez bien | Marianne, 10e part. | moi |
| Est-ce que j'ai une de ces physionomies-là, moi ? est-ce qu'on ne saurait s'empêcher de m'aimer quand on me voit ? | Serm. indiscr. II, 8 | moi |
| Moitié vaincue par les raisons, et moitié attendrie de reconnaissance pour toute la peine que je lui voyais prendre, afin de me persuader | Marianne, 8e part. | moitié |
| Mon amour-propre était de moitié avec le sien, dans tous les affronts que je supposais qu'elle essuyait | Marianne, IIe part. | moitié |
| J'ai besoin à tout moment d'oublier que je l'écoute | Jeux de l'amour et du has. II, 9 | moment [1] |
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