Citations correspondant à « breton » : 14 citations trouvées dans le Littré
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Le Breton a été obligé de faire assigner ses accusateurs au Châtelet VOLTAIRE Lett. Souverains, 31 châtelet
J'avais ce matin un Provençal, un Breton, un Bourguignon à ma toilette SÉVIGNÉ 131 toilette
Verville fut un grand quart d'heure à réveiller son valet breton, qui avait fait la débauche SCARRON Roman com. 1re part. ch. 15 débauche
La peur de se ruiner est [pour Ch. de Sévigné] un prétexte au goût breton ; il ne l'a eu que depuis qu'il a contemplé Tonquedec sur son pailler de province SÉVIGNÉ 13 mars 1680 pailler [1]
Le Breton [Hume], homme actif, liant, intrigant, au milieu de son pays, de ses amis, de ses parents, de ses patrons, de ses patriotes ROUSSEAU Lett. à Guy, 2 août 1766 patriote
Ce sénateur breton demanda à Destin des nouvelles d'Angélique, et lui témoigna d'avoir du déplaisir de ce qu'elle n'était point retrouvée SCARRON Rom. com. II, 8 retrouver
Ceux qui ont le raisonnement le plus fort.... peuvent toujours le mieux persuader ce qu'ils proposent, encore qu'ils ne parlassent que bas-breton et qu'ils n'eussent jamais appris de rhétorique DESCARTES Méth. I, 9 rhétorique
Les armoiries des rois de France ne ressemblèrent jamais à des lis ; c'est évidemment le bout d'une hallebarde, telles qu'elles sont décrites dans les mauvais vers de Guillaume le Breton VOLTAIRE Moeurs, 75 lis [1]
On eut beau lui remontrer que les usages avaient changé ; l'Ingénu était têtu, car il était Breton et Huron VOLTAIRE l'Ingénu, 4 têtu, ue
Une thèse qu'un bachelier breton se préparait à soutenir, où il y avait des propositions moins exorbitantes, à la vérité, que celles du collége de Clermont, mais qui étaient contraires aux libertés de l'Église gallicane RACINE Hist. Port-Royal, 2e part. exorbitant, ante
Elle [Catherine de Médicis] fut accusée d'avoir eu des intrigues avec le vidame de Chartres, mort à la Bastille, et avec un gentilhomme breton nommé Moscouët VOLTAIRE Henr. II, note 7 intrigue
L'autre jour, en entrant dans un bal, un gentilhomme breton fut poignardé par deux hommes habillés en femme ; l'un le tenait, l'autre lui perçait le coeur à loisir SÉVIGNÉ 409 percer
Une loi pastorale venue de quelque petit peuple breton, ou portée par quelque peuple germain MONTESQUIEU Esp. XVIII, 21 pastoral, ale
Plusieurs rabbins prétendent que la langue mère était le samaritain ; quelques autres ont assuré que c'était le bas-breton ; dans cette incertitude, on peut fort bien, sans offenser les habitants de Quimper et de Samarie, n'admettre aucune langue mère VOLTAIRE Dict. phil. ABC. langue