Certes les chrétiens ont d'étranges manies |
CORNEILLE
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Poly. IV, 5 |
certes |
Certes ou les chrétiens ont d'étranges manies.... |
CORNEILLE
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ib. IV, 5 |
chrétien, ienne |
Mais certes le détour est un peu surprenant |
CORNEILLE
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Sertor, II, 2 |
détour |
Ah ! certes, le détour est d'esprit, je l'avoue |
MOLIÈRE
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Femmes sav. I, 4 |
esprit |
Certes les chrétiens ont d'étranges manies |
CORNEILLE
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Poly. IV, 5 |
manie [1] |
Certes je n'ai jamais dormi d'un si bon somme |
RACINE
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Plaid. III, 3 |
somme [3] |
Certes, c'est pour en rire, et tu peux me le rendre |
MOLIÈRE
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Mélic. I, 2 |
ce [2] |
En quoi certes personne ne le surpassa jamais |
VAUGELAS
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dans BOUHOURS |
certes |
Certes l'exemple est rare et digne de mémoire |
CORNEILLE
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ib. IV, 2 |
certes |
Ah ! certes, cela sera du dernier beau |
MOLIÈRE
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Préc. sc. 10 |
dernier, ière |
Certes il écrit bien, sa lettre est excellente |
CORNEILLE
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Suite du Ment. II, 1 |
excellent, ente |
Certes pour un amant la fleurette est mignonne |
MOLIÈRE
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Misanthr. II, 1 |
mignon, onne |
Certes je ne puis faire, en ce ravissement, Que rappeler mon âme |
MALHERBE
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I, 1 |
rappeler |
Certes je ne puis faire en ce ravissement Que rappeler mon âme.... |
MALHERBE
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I, 1 |
ravissement |
Certes, ma soeur, le conte est fait avec adresse |
CORNEILLE
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Pomp. I, 3 |
adresse |
Mais certes, c'en est trop d'aller jusqu'à la joie |
CORNEILLE
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Hor. I, 1 |
aller [1] |
Certes, quand je bivouaquais sur les bords du Danube, mon domicile n'était pas là |
COURIER
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I, 250 |
bivaquer |
Ah ! certes celui-là l'emporte et vient à bout De toute ma raison |
MOLIÈRE
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Dép. II, 1 |
bout [1] |
Mais certes c'en est trop d'aller jusqu'à la joie |
CORNEILLE
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Hor. I, 1 |
certes |
Certes, ma soeur, le conte est fait avec adresse |
CORNEILLE
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Pomp. I, 3 |
conte |
Certes, vous m'allez mettre en crédit par la ville |
CORNEILLE
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le Ment. III, 5 |
crédit |
Il n'y a certes qu'une extrême préoccupation qui puisse s'emporter à un tel reproche |
BOSSUET
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Fragm. sur div. mat. de controverse, III |
emporter |
Certes, vous avez grâce à conter ces merveilles |
CORNEILLE
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Ment. I, 5 |
grâce |
Je n'ai rien à me dire - Encore un petit mot - Il ne me plaît pas, moi - Certes je t'y guettais |
MOLIÈRE
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Tart. II, 2 |
guetter |
Mais certes jamais un guignon N'arrive sans son compagnon |
SCARRON
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Virg. II |
guignon |
Orgon : Certes, je t'y guettais. - Dorine : Quelque sotte, ma foi ! |
MOLIÈRE
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Tart. II, 2 |
quelque |
Orgon : Certes, je t'y guettais. - Dorine : Quelque sotte, ma foi !.... |
MOLIÈRE
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Tart. II, 2 |
sot, otte |
Certes, c'est lâchement qu'un tas de médisants.... De frivoles soupçons nos courages étonnent |
MALHERBE
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v, 26 |
tas [1] |
Certes est beau dans sa vieillesse, et a encore de la force sur son déclin |
LA BRUYÈRE
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XIV |
vieillesse |
Certes c'est une chose aussi qui scandalise De voir qu'un inconnu céans s'impatronise |
MOLIÈRE
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Tart. I, 1 |
ce [2] |
Certes une ennemie à qui je dois l'honneur.... Devrait trouver une âme un peu moins défendue |
CORNEILLE
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Théod. IV, 3 |
défendu, ue, |
Certes, monsieur Tartuffe, à bien prendre la chose, N'est pas un homme, non, qui se mouche du pié |
MOLIÈRE
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Tart, II, 3 |
non |
Certes, je ne pense pas que de si faibles considérations dussent tarder une si juste entreprise |
GUEZ DE BALZAC
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Liv. IV, lett. 10 |
tarder |
La comtesse : On me défend, monsieur, de plaider de ma vie ! - Chicaneau : Certes, le trait est noir |
RACINE
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Plaid. I, 7 |
trait [1] |
Certes plus je médite, et moins je me figure Que vous m'osiez compter pour votre créature |
RACINE
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Brit. I, 2 |
certes |
Certes, je ne sais pas quelle chaleur vous monte ; Mais à convoiter, moi, je ne suis pas si prompte |
MOLIÈRE
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Tart. III, 2 |
chaleur |
Certes je ne sais pas quelle chaleur vous monte ; Mais à convoiter, moi, je ne suis pas si prompte |
MOLIÈRE
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Tart. III, 2 |
convoiter |
Certes Rome à ce coup pourrait bien se vanter, D'avoir eu juste lieu de me persécuter |
CORNEILLE
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Pomp. III, 2 |
coup |
Certes, plus je médite, et moins je me figure Que vous m'osiez compter pour votre créature |
RACINE
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Brit. I, 2 |
créature |
Certes, si je m'enflais de ces vaines fumées Dont on voit à la cour tant d'âmes si charmées |
CORNEILLE
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Théod. I, 1 |
enfler |