Citations correspondant à « legs » : 12 citations trouvées dans le Littré
Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
Vingt mille écus ! le legs serait exorbitant |
REGNARD
|
Légat. II, 6 |
exorbitant, ante |
Le jeune César acquitta, des deniers qui provinrent de ces ventes, une partie des legs portés par le testament |
VERTOT
|
Révol. rom. XIV, 306 |
porté, ée |
Procès pour le legs au présidial de Poitiers.... Le coeur de la dame fut contesté avec plus de chaleur encore |
LA FONTAINE
|
Lett. VI |
contester |
Dites-moi ce que c'est que des mémoires qui ont paru sur mademoiselle Lenclos, je m'y intéresse en qualité de légataire [elle avait laissé un legs à Voltaire] |
VOLTAIRE
|
Lett. d'Argental, 29 mai 1751 |
légataire |
Il mourut, et son testament N'était plein que de legs qui l'auraient consolée, Si les biens réparaient la perte d'un mari Amoureux autant que chéri |
LA FONTAINE
|
Matrone. |
legs |
Il savait qu'une charité tardive, selon les Pères de l'Église, avait plus d'avarice que de piété, qu'il faut exécuter soi-même son testament et ses legs pieux... |
FLÉCHIER
|
Duc de Mont. |
legs |
Tout testateur qui avait oublié de faire un de ces legs qu'on appelle pieux, était déclaré déconfès, c'est-à-dire à peu près sans religion |
VOLTAIRE
|
Hist. parl. I |
testateur, trice |
Que reste-t-il aujourd'hui de toutes ces douleurs en Angleterre [les expiations pour la mort de Charles 1er] ?... les siècles n'adoptent point ces legs de deuil ; ils ont assez de maux à pleurer, sans se charger de verser encore des larmes héréditaires |
CHATEAUBRIAND
|
Stuarts, la République. |
legs |
Avez-vous entendu parler d'un sénéchal de Forcalquier qui, en mourant, a fait un legs au roi de l'Art de gouverner, en trois volumes in-4° ? c'est bien le plus ennuyeux sénéchal que vous ayez jamais vu |
VOLTAIRE
|
Lett. Chauvelin, 18 sept. 1763 |
sénéchal |
Le legs que fit Louis VIII de trente mille livres une fois payées à son épouse la célèbre Blanche de Castille, revenait à cinq cent quarante mille livres d'aujourd'hui |
VOLTAIRE
|
ib. 51 |
livre [3] |
M. Boucherat a trouvé que, toutes ses dettes et ses legs payés, il ne lui restait [à Turenne] que dix mille livres de rente ; c'est deux cent mille francs pour tous ses héritiers, pourvu que la chicane n'y mette pas le nez ; voilà comme il s'est enrichi en cinquante années de service |
SÉVIGNÉ
|
28 août 1675 |
nez |
Il [Turenne] avait quarante mille livres de rente de partage, et M. Boucherat a trouvé que, toutes ses dettes et ses legs payés, il ne lui restait que dix mille livres de rente |
SÉVIGNÉ
|
28 août 1675 |
partage |