Citations correspondant à « maman » : 32 citations trouvées dans le Littré
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Comment va la maman ? Adieu, mon cher hôte... ; offrez nos respects et nos voeux à la maman, et nos amitiés à M. Jeannin ROUSSEAU Lett. à du Peyrou, 12 janv. 1769 maman
Comment Mlle N. traiterait le bon ami de sa maman ROUSSEAU Conf. VI ami, ie
Maman dirait : craignez les bagatelles ! Le diable est fin, tremblez, Suzon BÉRANGER Cartes. bagatelle
Bonne maman, consolez-vous, Prenez un bâton de vieillesse BÉRANGER B. mam. bâton
Bonne maman, consolez-vous, Prenez un bâton de vieillesse BÉRANGER ib. maman
Je vois que cette maman mignonne n'est pas de contre-bande avec vous SÉVIGNÉ 52 contrebande
J'imagine que votre grand'maman [la duchesse de Choiseul] est une vraie philosophe VOLTAIRE Lett. à Mme du Deffant, 25 mai 1770 philosophe
Soyez en repos de votre chère maman, qui se conserve pour vous SÉVIGNÉ 21 août 1689 repos
Oh çà, madame Artus, si j'en juge à la mine, Vous êtes la maman de la jeune orpheline DANCOURT Mme Artus, III, 9 maman
Cette grosse maman est de bon goût, et rarement donne-t-elle sa protection gratis MARIVAUX Pays. parv. 6e part. maman
Le lieu natal de ma pauvre maman avait encore pour moi un attrait de prédilection ROUSSEAU Confess. IX natal, ale
Maman, bonne, humaine.... heureuse comme le sont presque toujours les personnes prudentes DIDEROT Lett. à Mlle Voland, 15 nov. 1768 prudent, ente
Eh bien, maman, nous voilà donc retombés dans les contes de fées ? GENLIS Veillées du château t. II, p. 22, dans POUGENS retombé, ée
Il y a ici une petite fille qui se veut mêler d'aimer sa maman, mais elle est cent pas derrière vous SÉVIGNÉ 27, sept. 1687 pas [1]
Je me prosterne aux pieds de maman, et je la supplie de ne me plus faire les gros yeux ; je tâcherai à l'avenir d'être un peu plus joli garçon DIDEROT Mém. t. III, p. 52, dans POUGENS oeil
Quand vous écrirez à votre grand'maman [la duchesse de Choiseul] qui ne m'écrit point, mettez-moi tout de mon long à ses pieds VOLTAIRE Lett. Mme du Deff. 5 avr. 1771 long, ongue
Je devenais vilain par un motif très noble ; car, en vérité, je ne songeais qu'à ménager à maman quelque ressource dans la catastrophe que je prévoyais ROUSSEAU Confess. v. vilain, aine
Bonjour, maman trop adorable, On a beau vous chercher, vous êtes introuvable DESTOUCHES Irrésolu, III, 4 introuvable
Bonne maman, consolez-vous, Vous lisez encor sans lunettes BÉRANGER B. maman. lunette
La duchesse de la Vallière y était ; elle appelle sa fille mademoiselle, et la princesse l'appelle belle maman SÉVIGNÉ Lett. 27 janv. 1674 maman
Maman, toujours projetante et toujours agissante, ne nous laissait guère oisifs ni l'un ni l'autre ROUSSEAU Confess. v. projetant, ante
Bonne maman, consolez-vous ; Vous ne blanchissez pas encore BÉRANGER B. maman. blanchir
Qu'est-ce que vous me voulez, mon papa ? ma belle maman m'a dit que vous me demandez MOLIÈRE Mal. imag. II, 11 demander
Qu'est-ce que vous me voulez, mon papa ? ma belle maman m'a dit que vous me demandez MOLIÈRE Mal. imag. II, 11 maman
Qu'est-ce que vous me voulez, mon papa ? ma belle maman m'a dit que vous me demandez MOLIÈRE Mal. imag. II, 11 que [2]
Qu'est-ce que vous voulez, mon papa ? ma belle maman m'a dit que vous me demandez MOLIÈRE Mal. imag. II, 11 vouloir [1]
Vous êtes trop bonne et trop appliquée à votre pauvre maman : elles ne sont point accoutumées, les mamans, à ces aimables douceurs SÉVIGNÉ 22 sept. 1687 maman
Oh ! si vous faites la rétive, Je vous mets à dada, vous, maman Valentin DANCOURT le Curieux, 22 dada
Et puis qu'on dise qu'il n'y a pas de destinée ; c'est vous, madame, qui m'avez valu cette destinée-là ; c'est à vous que je dois votre grand-maman [la duchesse de Choiseul qui rendit des services à Voltaire] VOLTAIRE Lett. Mme du Deffant, 1er juin 1770 destinée
Conduisez-vous, gouvernez-vous, si vous aimez votre cher fils, votre maison, votre mari, votre maman, vos frères ; enfin vous êtes l'âme et le ressort de tout cela SÉVIGNÉ à Mme de Grignan, 6 déc. 1688 ressort [1]
Je me levais avec le soleil et j'étais heureux ; je me promenais et j'étais heureux ; je voyais maman, et j'étais heureux ; je la quittais et j'étais heureux ROUSSEAU Confess. VI heureux, euse
Que n'êtes-vous pas pour eux, pour leur nom, pour leur famille [des Grignans] ? toute livrée, toute dévouée, toute ruinée, toute détachée de votre famille, hors de votre maman SÉVIGNÉ 13 déc. 1688 livré, ée