Citations correspondant à « noyon » : 11 citations trouvées dans le Littré
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Quand l'abbé de Tonnerre eut dit le bénédicité, il [l'évêque de Noyon] lui dit de se mettre à table SAINT-SIMON 32, 120 bénédicité
M. de Noyon jargonna longtemps avant de se rendre, mais à la fin il ne put se défendre des soupçons SAINT-SIMON 24, 25 jargonner
On a vu le mot étrange, à bout portant, que Tonnerre, évêque comte de Noyon, lâcha au roi en plein petit couvert SAINT-SIMON 413, 186 bout [1]
M. de Noyon conduit M. de Paris jusqu'aux degrés, toujours parlant et complimentant l'archevêque, qui rageait de tout son coeur SAINT-SIMON 24, 24 rager
M. de Noyon rencontra M. de Paris ; il s'écrie ; M. de Paris va à lui, et croit qu'il va mettre pied à terre SAINT-SIMON 24, 24 écrier (s')
M. de Noyon n'en eut que le bien devant Dieu [de s'être réconcilié avec M. de Caumartin] et l'honneur devant le monde SAINT-SIMON 24, 27 bien [1]
On s'y portait [au discours de réception de M. de Noyon] dans le désir d'en faire sa cour au roi, et dans l'espérance de s'y divertir SAINT-SIMON 14, 23 porter [1]
Jean Chauvin, dit Calvin, fils d'un tonnelier de Noyon, fit brûler dans Genève, à petit feu, avec des fagots verts, Michel Servet de Villa-Nueva ; cela n'est pas bien VOLTAIRE Dict. phil. Trinité tonnelier
C'est après une déclaration aussi solennelle que Jean Chauvin, dit Calvin, fils d'un tonnelier de Noyon, fit brûler dans Genève, à petit feu avec des fagots verts, Michel Servet de Villa-Nueva ; cela n'est pas bien VOLTAIRE Dict. phil. Trinité. fagot
On a bien reconté là-dessus [à propos d'un trait de vanité de l'évêque de Noyon] toutes les clefs de la maison de Tonnerre [qui faisaient partie des armes de l'évêque, et qui étaient partout dans sa maison] SÉVIGNÉ 11 mars 1671 reconter
Des libertés immémoriales prenaient l'air de concessions récentes ; toute commune semble une pure émanation de la volonté royale, et Louis le Gros, comme premier en date, a l'honneur de l'initiative ; de là vient que Beauvais et Noyon passent pour les plus anciennes communes de France ; assertion vraie si l'on réduit le nom de France à ses limites du XIIe siècle, et fausse si on l'applique à tout le territoire sur lequel il s'étend aujourd'hui A. THIERRY Lett. sur l'hist. de Fr. XII commune