Citations correspondant à « redoublement » : 11 citations trouvées dans le Littré
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Ils sentent un redoublement d'ardeur et de force FLÉCHIER Aiguillon. redoublement
Ce redoublement d'amour lui parut une infidélité, et lui causa le même déplaisir que la diminution lui en aurait dû causer LA FAYETTE Zayde, Oeuvres, t. I, p. 357, dans POUGENS redoublement
Mon partage [après le Commentaire sur Corneille] fut le redoublement de la haine et de la calomnie de ceux que mes faibles succès rendaient mes éternels ennemis VOLTAIRE Lett. la Harpe, 22 janv. 1773 redoublement
Comme un homme qui, ayant soutenu longtemps les atteintes d'une vive douleur, fait enfin connaître son mal par un cri qu'un redoublement aigu lui arrache VOLTAIRE Zadig, VIII redoublement
Le redoublement de larmes, lorsqu'il lui avait parlé de la mort du prince de Navarre, l'avait frappé LA FAYETTE Comtesse de Tende, Oeuvres compl. t. II, p. 282 redoublement
On va commencer à respirer [après les succès qui suivirent le passage du Rhin] ; mais quel redoublement de douleur à Mme de Longueville et à ceux qui ont perdu leurs chers enfants ! SÉVIGNÉ 20 juin 1672 redoublement
Et celle [la maladie] que nous appelons la dernière, qu'est-ce autre chose, à le bien entendre, qu'un redoublement et comme le dernier accès du mal que nous apportons en naissant ? BOSSUET Marie-Thér. chose
Et celle [la maladie] que nous appelons la dernière, qu'est-ce autre chose, à le bien entendre, qu'un redoublement et comme le dernier accès du mal que nous apportons au monde en naissant ? BOSSUET Mar.-Thér. mal, ale
On assure qu'il ne voulut jamais faire de remèdes pour sa surdité, soit qu'il désespérât d'en guérir, soit qu'il se trouvât bien de ce redoublement d'attention et de recueillement qu'elle lui procurait FONTENELLE Amontons. recueillement
Le repos et la nourriture ne sont-ils pas de faibles remèdes de la continuelle maladie qui nous travaille ? et celle que nous appelons la dernière, qu'est-ce autre chose, à le bien entendre, qu'un redoublement et comme le dernier accès du mal que nous apportons en naissant ? BOSSUET le Tellier. maladie
Le repos et la nourriture ne sont-ils pas de faibles remèdes de la continuelle maladie qui nous travaille ? et celle que nous appelons la dernière, qu'est-ce autre, à le bien entendre, qu'un redoublement et comme le dernier accès du mal que nous apportons en naissant ? BOSSUET Mar.-Thér. redoublement