Citations correspondant à « stade » : 7 citations trouvées dans le Littré
Citation Auteur Œuvre Entrée
Comme la lice ou la carrière destinée aux jeux athlétiques n'avait d'abord qu'un stade de longueur, elle prit le nom de sa propre mesure, et s'appela le stade, soit qu'elle eût précisément cette étendue, soit qu'elle fût beaucoup plus longue ROLLIN ib. stade
Le stade est une chaussée de six cents pieds de long, et d'une largeur proportionnée ; c'est là que se font les courses à pied, et que se donnent la plupart des combats BARTHÉLEMY Anach. ch. 38 stade
On appelait en général stade chez les Grecs l'endroit où les athlètes s'exerçaient entre eux à la course, et celui où ils combattaient sérieusement pour le prix ROLLIN Hist. anc. Oeuv. t. v, p. 76, dans POUGENS stade
Elle [une machine] jetait une pierre du poids de trois cents livres et une flèche de douze coudées à la distance d'un stade, c'est-à-dire à cent vingt-cinq pas de là ROLLIN ib. t. X, p. 37 coudée
À la petite pointe du jour, nous nous rendîmes au stade ; il était déjà rempli d'athlètes qui préludaient aux combats BARTHÉLEMY Anach. ch. 38 préluder
Le maréchal de Richelieu venait de conclure, près de Stade, un traité avec les Hanovriens et les Hessois qui ressemblait à celui des fourches caudines : leur armée ne devait plus servir VOLTAIRE Comm. Oeuvr. aut. Henriade. servir
Diodore de Sicile rapporte que des écrivains postérieurs à Ctésias bornaient la hauteur de ces murs [de Babylone] à cinquante coudées, et c'est l'opinion suivie par Strabon ; or cinquante coudées du grand stade de Babylone vaudraient environ 13 mètres ou 71 de nos pieds GOSSELIN Instit. Mém. inscr. et belles-lett. t. VI, p. 127 mur