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absorbé, ée

part. passé. (ap-sor-bé, bée)
  • 1Poison absorbé. Pluies avidement absorbées par la terre.
  • 2Biens absorbés par les procès, en procès.
  • 3Au figuré. Absorbé par les affaires, absorbé par une grande douleur, absorbé dans ses réflexions. Je suis absorbé dans la composition. Mais ce n'est là qu'une faible voix absorbée, pour ainsi dire, par le bruit formidable de la multitude. [Massillon, Profession religieuse, Sermon] Absorbé dans ses spéculations, il devait naturellement être et indifférent pour les affaires et incapable de les traiter. [Fontenelle, Newton.] La volonté est absorbée en Dieu. [Pascal, édit. Cousin.] Quand je considère la petite durée de ma vie absorbée dans l'éternité. [Pascal, ib.]
  • 4 Absolument. Qui ne prête pas attention aux choses du dehors. Voyez-le ; il est tout absorbé.
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