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aplanir

vt (a-pla-nir)
  • 1Rendre plan ou uni ce qui ne l'était pas. Aplanir un terrain. Aplanir une route.
  • 2 Fig. Phébus a-t-il pour vous aplani le Parnasse ? [Boileau, Satires] Et leur osent du crime aplanir le chemin. [Racine, Phèdre] Vous avez su du trône aplanir le chemin. [Voltaire, La méroppe française] Vous qui amollissiez devant lui les duretés des coeurs obstinés et qui aplanissiez les hauteurs des esprits superbes. [Fléchier, Panég. II, p. 280] Aplanissons les voies de notre conversion. [Massillon, Épiph.] C'est à nous à aplanir les difficultés qui s'y trouvent. [Massillon, Parole.] En prenant soin d'aplanir les difficultés. [Bossuet, Lett. 159] Il faut de ces périls m'aplanir la sortie. [Ccrn. Rod. III, 1]
  • 3S'aplanir, vpron Le terrain s'aplanit du côté des montagnes. On promit que toutes les difficultés s'aplaniraient.
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