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arqué, ée

part. passé. (ar-ké, kée)
  • 1Courbé en arc. Poutre arquée. C'était [Rosen] un grand homme sec, qui aurait fait peur au coin d'un bois, avec une jambe arquée d'un coup de canon. [Saint-simon, Mémoires complets et authentiques du duc de Saint-Simon] Les Arabes ont la tête ovale, le front haut et arqué. [Chateaubriand, Itinéraires de Paris à Jérusalem] Qu'il ait sa belle esclave aux paupières arquées. [Hugo, Les orientales]
  • 2Cheval arqué, cheval qui fléchit les genoux dans le repos, défaut qui peut venir de la conformation primitive, mais qui le plus ordinairement est l'effet de trop grandes fatigues.
  • 3En géologie, stratification arquée, celle des massifs qui, constituant une montagne, s'élèvent d'un côté dans le sens de la pente, se recourbent au sommet, et redescendent avec la pente opposée.
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