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consolant, ante

adj. (kon-so-lan, lan-t')
  • Qui console ou est propre à consoler. Il est bien consolant pour un père de voir ses enfants prospérer. Voilà une vérité bien consolante pour vous. [Massillon, dans GIRAULT-DUVIVIER] Honorez le malheur par des soins consolants. [Ducis, Abufar ou La Famille arabe] Sa loi, sa morale est consolante et pure. [Voltaire, Alzire, ou Les américains] L'honneur consolant de mourir à vos yeux. [Voltaire, Tancrède] Et des mots consolants sont sortis de sa bouche. [Delille, L'imagination]

    Familièrement. Cet homme-là n'est guère consolant, ce qu'il dit n'est pas fait pour rassurer. Cette maxime n'est pas neuve, mais elle est consolante. Son laconisme peu consolant n'était d'ailleurs réparé ni par sa figure ni par ses manières. [Fontenelle, Littre.]

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