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sortilége

nm (sor-ti-lè-j' ; on prononce l'é comme s'il était marqué d'un accent grave, bien qu'il porte l'accent aigu)
  • Maléfice des sorciers. Leur secte [des chrétiens] est insensée, impie et sacrilége, Et dans son sacrifice use de sortilége. [Corneille, Polyeucte] Le sortilége est bon pour éblouir les sots. [Hauteroche, L'Esprit follet ou La Dame invisible] C'est un sortilége qu'il lui a donné, et vous verrez qu'elle changera de sentiment avant qu'il soit peu. [Molière, Monsieur de Pourceaugnac] On l'accusait [Luxembourg] d'avoir fait des sortiléges pour faire périr plus d'une personne. [Voltaire, Le siècle de Louis XIV]
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