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stylé, ée [2]

part. passé (sti-lé, lée) de styler
  • Tant ces nouveaux réformateurs avaient de peine à se contenter, et tant ils étaient peu stylés à enseigner précisément ce qu'il fallait croire. [Bossuet, Histoire des variations des Églises protestantes] Voilà un drôle qui n'est pas encore stylé. [Brueys, Muet, I, 2] Elle était si stylée à plaire aux hommes, qu'elle trouva le secret de charmer encore celui-là. [Lesage, Histoire de Gil Blas de Santillane] Des hommes, des chevaux, des chiens tous exercés, stylés, qui, par leurs mouvements, leurs recherches et leur intelligence, doivent concourir au même but [dans la chasse]. [Buffon, Quadrupèdes]
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