tordu, ue
part. passé (tor-du, due) de tordre
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L'empereur ne pouvait passer devant leur front sans avoir à éviter, à franchir ou à fouler des baïonnettes tordues par la violence du choc et des cadavres
. [Ségur, Histoire de Napoléon et de la Grande-Armée pendant l'année 1812]Terme de botanique. Il se dit d'un organe replié sur lui-même.
Préfloraison tordue se dit d'une corolle dialypétale à pétales imbriqués latéralement et enroulés dans le bouton.
REMARQUE
Tors est le véritable participe, mais tombé en désuétude ; Marot voulait qu'on l'employât seul ; et Ménage remarque que tors se dit encore (je lui ai tors le cou), mais que tordu prend le dessus.
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