Citation de ROUSSEAU extraite de l'article "violent, ente" du dictionnaire de français Littré
On supporte un état violent, quand il passe ; six mois, un an ne sont rien, on envisage un terme et l'on prend courage ; mais quand cet état doit durer toujours, qui est-ce qui le supporte ?
(Jean-Jacques ROUSSEAU, Hél. VI, 6)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Les moyens violents ne conviennent point à la cause juste | Lett. de la Mont. 8 | violent, ente |
| N'outragez pas ainsi la nature, ne violez pas la sainte hospitalité | Lév. d'Éphr. II | violer |
| Je vois de petits polissons jouer sur la neige, violets, transis, et pouvant à peine remuer les doigts | Ém. II | violet, ette |
| Les violettes livides en ont chassé [du visage d'une femme morte] les roses | Lév. d'Éphraïm, II | violette |
| Il ne veut le voir que pour le faire décrier par les petits vipereaux qu'il élève à la brochette, et par lesquels il répand contre moi son fade poison dans les Mercures de Neuchâtel | Lett. à M. Moultou, Corresp. t. VI, p. 21, dans POUGENS. | vipereau |
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